Islamisme, wokisme, délires africanistes, Malraux avait tout prévu

En 1956, André Malraux, dans son discours sur l’islam, nous annonçait l’émergence des discours et des actes extrémistes des adeptes de cette religion. Il nous annonçait ce que l’on appellera plus tard l’islamisme.

Le vide intersidéral culturel de ces pays imbibés d’islam ne pouvait selon lui que donner lieu à une réaction proportionnelle au vide, une réaction de fierté, nécessairement mal placée puisque sans base, effectivement lorsque l’on n’a rien, pas de prix Nobel, d’historien, pas d’écrivain, de culture, pas de base morale, il faut s’inventer des fiertés.

Sa vision date déjà de 1956, et il est frappant de voir qu’il avait prévu ce que l’on appelle désormais le wokisme. D’abord originaire des pays islamiques d’Afrique, cette réaction face au vide s’étend désormais aux pays d’Afrique Noire, comme nous l’avons vu de façon frappante avec les délires de Maître Gims.

Inventer un passé qui n’a jamais existé est le propre du wokisme même si inventer l’électricité en Egypte antique relève plutôt de la maladie mentale, n’accablons pas plus que nécessaire ici les wokistes.

Ils préféreront conserver leur misère à l’intérieur d’une communauté musulmane. Leur sort sans doute restera inchangé. Nous avons d’eux une conception trop occidentale. Aux bienfaits que nous prétendons pouvoir leur apporter, ils préféreront l’avenir de leur race. L’Afrique noire ne restera pas longtemps insensible à ce processus. Tout ce que nous pouvons faire, c’est prendre conscience de la gravité du phénomène et tenter d’en retarder l’évolution.

André Malraux, le 3 juin 1956.

Il ne fait pas bon dénoncer le wokisme sur Facebook… la boucle est bouclée vous êtes immédiatement censuré