Ah, Elon Musk et ses galères… expulsé du Brésil par la Cour suprême pour avoir oublié de suivre les règles locales avec son joujou Twitter. Ça nous rappelle (ou ça apprend à certains) que ces réseaux sociaux omniprésents – Twitter, Telegram, Facebook, Insta, tout ça – sont en fait des gadgets géants qui, franchement, ne servent à rien de vraiment crucial.
Mais attention, ce n’est pas qu’une histoire de réseaux sociaux. On utilise tous les jours des trucs dont on pourrait très bien se passer. Mais revenons à nos moutons. Ces plateformes sont fréquentées par des millions (voire des milliards) de gens, ce qui leur donne une allure d’indispensabilité… sauf que non, pas du tout !
Prenons l’exemple du Brésil : Twitter coupé en 24h, 23 millions de comptes envolés, et surprise… personne n’a fait une crise existentielle. Pas de révolution, pas de drame, juste 3 millions qui ont sauté sur un autre réseau (clone de Twitter), et les 20 millions restants ? Ils sont allés à la plage ! Tranquilles. Pendant ce temps, Elon doit sûrement méditer sur cette belle leçon d’humilité.
Même Pavel Durov, le patron de Telegram, a pris des notes : après une petite remontrance en France, il a enfin promis de faire son boulot et de modérer correctement. Oh, une première ! Mais bon, ses menaces de quitter la France ont surtout provoqué des rires. Comme si quelqu’un allait pleurer pour ça…
Ces « grands » patrons, grand par la taille de leur compte en banque (pas de leur intelligence, hein ), commencent à comprendre qu’ils ne sont pas indispensables. Spoiler alert : ils ne sont même pas utiles. Ça fait réfléchir quand on dirige une entreprise…
Depuis l’arrivée de Facebook, j’ai toujours pensé que ces réseaux étaient surtout bons pour partager des potins entre potes et famille. Mais maintenant ? C’est devenu une mine à fake news et à infos folles. Pas de contenu pérenne, juste du bruit. Si Facebook fermait demain matin, le monde ne s’effondrerait pas. Au contraire, les gens seraient sans doute plus zen.
Donc, la leçon du Brésil, des aventures de Musk en Europe et du mea culpa de Durov, c’est peut-être que les choses changent. On pourrait rêver à un réseau social utile, modéré, un peu comme Wikipédia. Pas un déluge d’infos sans modération, mais quelque chose de sérieux, avec une communauté responsable. Oui, on peut rêver. Mais qui sait, peut-être qu’un jour, on y arrivera.