Oh là là, mes amis, laissez-moi vous raconter la première semaine de notre ami Trump, c’est du grand spectacle !
Imaginez un peu la scène : notre showman préféré décide de faire du grand n’importe quoi avec les expulsions d’immigrés. Premier acte : il envoie un avion militaire au Brésil, avec des gens menottés comme dans un mauvais film d’action des années 80. Mais patatras ! L’avion doit faire escale en Amazonie. Le président brésilien, pas très fan du concept, fait une tête comme si on lui avait servi du ketchup sur une feijoada !
Et puis, tel un magicien qui n’a pas fini son numéro, Trump tente le même tour avec la Colombie. Mais surprise ! Les Colombiens lui font un magnifique « nope » et le président, avec un sens de l’ironie délicieux, propose même son jet privé présidentiel. Classe à la colombienne, vous voyez le tableau ?
Mais attendez, ça continue ! Notre Donald national, pris d’une inspiration soudaine, appelle le Danemark : « Dites, vous me vendez le Groenland ? » Les Danois ont tellement ri qu’ils en ont fait tomber leurs smørrebrød !
Et puis il y a eu ce moment collector avec l’intelligence artificielle. Trump annonce fièrement 500 milliards d’investissement, comme s’il sortait l’argent de son chapeau de magicien. Elon Musk, son ex-BFF, lui fait remarquer que les dollars imaginaires, ça ne compte pas. Et la Chine qui débarque avec son IA DeepSeek, genre « regardez ce qu’on fait avec trois bouts de ficelle pendant que vous faites des plans sur la comète ! »
Le summum ? Il veut renommer le Golfe du Mexique en « Golfe de l’Amérique ». Pendant ce temps-là, les Américains sont là : « Cool story bro, mais tu fais quoi pour le prix des œufs ? »
Et la cerise sur le gâteau, sa promesse de finir la guerre en Ukraine en 24h se transforme en « quelques mois », comme quand tu commandes un colis sur Wish…
C’est un peu comme si on regardait une téléréalité, mais version géopolitique. On ne sait pas si on doit rire ou pleurer, alors on fait les deux !
Bref, première semaine du Trump Show, Saison 2025. Les critiques ne sont pas tendres, mais l’audimat est au rendez-vous. Comme on dit chez nous : « C’est du Trump tout craché, beaucoup de bruit, pas mal de fureur, et au final… on attend toujours que quelque chose se passe ! »