Le texte présente la tendance émergente du « mouvement no-wash », où de plus en plus de personnes choisissent de ne pas laver leurs vêtements aussi régulièrement qu’auparavant. Cette tendance est attribuée à la généralisation du télétravail pendant la pandémie de Covid-19. L’article décrit l’histoire d’un ingénieur informatique nommé Tim, qui ne fait qu’une lessive tous les six mois environ, car il estime ne plus avoir vraiment besoin de vêtements propres en raison de ses interactions professionnelles limitées aux appels en visioconférence. Tim utilise des astuces comme porter des sandales pour éviter de laver des chaussettes et utiliser un maillot de bain comme sous-vêtement, qu’il lave pendant sa douche.
Le texte souligne que cette nouvelle façon de vivre n’est pas exceptionnelle et met en avant l’impact environnemental des machines à laver à haute température dans le contexte de la crise climatique. Il est suggéré que laver les vêtements à froid et uniquement lorsque cela est nécessaire peut être tout aussi bénéfique, voire plus, que d’acheter des vêtements durables. Le réflexe de laver un vêtement après l’avoir porté une seule fois est également abordé, expliquant qu’il est relativement récent et lié à l’avènement de la société consumériste. Avant l’essor des machines à laver dans les années 1960, les gens avaient moins de vêtements et ceux-ci résistaient plus longtemps à l’usure.