Le wokisme, vous connaissez?
Jusqu’à maintenant, il faisait parler sur les réseaux sociaux, c’était le thème à la mode, le successeur de « islamophobie » dans le genre mot fourre-tout au limites floues dont on débattait pendant des heures sur les réseaux sociaux;
On pouvait rire de la cancel culture qui a vu renommé le fameux livre d’Agatha Christie « Les dix petits nègres », « Ils étaient dix », parce que nègre c’est caca, on a plus le droit de le dire, à cause… de la couleur, vous voyez? Avouons le, comme tout ce qui est excessif et bête, cela nous a bien fait rire.
Mais voilà que soudain, on rit beaucoup moins.
La mère d’une élève d’un collège de Chambéry, sévèrement imbibée de wokisme (l’enquête le dira, peut-être d’autre chose), s’est auto persuadée que puisque sa fille était noire et qu’elle était revenue du collège avec un coquart, c’est qu’elle avait nécessairement été victime d’une attaque raciste… (vous suivez la logique jusque là?)
Tous les marqueurs du wokisme sont là, le parfait manuel du wokiste n’indique-t-il pas pas que:
- si vous êtes noir
- si il y a des blancs autour de vous
- s’il vous arrive quelque chose
Vous êtes nécessairement victime des blancs. Inutile d’avancer aucune raison, explication, d’enquêter, les coupables sont trouvés et livrés à la vindicte populaire des media sociaux. Aucune plainte déposée par la mère depuis le début de l’année, date depuis laquelle, selon la mère, des agressions racistes se seraient produites. C’est bien connu, quand votre enfant est victime d’agression raciste à l’école, on ne va pas à la police.
C’est exactement ce qui s’est passé. Cette mère a remué Ciel et Terre pour désigner le principal du Collège comme coupable, elle a donné en pâture son adresse sur Internet et il est maintenant menacé de mort. Cela ne vous rappelle rien, une certaine affaire Samuel Paty?
Seulement là, le principal a décidé de porter plainte contre la mère pour mise en danger de la vie d’autrui, la blessure de la collégienne étant dûe à une chute dont elle était la seule responsable, selon, excusez du peu, près de 200 témoins qui étaient à ce moment là dans la cour d’école…
Ce n’est que le début, il y aura d’autres affaires similaires. Accusations sans fondement, rumeurs, tribunal populaire, menaces de mort.
Espérons que la Justice mette un coup d’arrêt à cette folie woke, car là; la vie de nos compatriotes est en jeu.